Pourtant un père, à la recherche de sa fille convertie à
l’Islam ayant mis les voiles vers tous les Afghanistan et Pakistan réunis, avec
rien qu’un bandana en souvenir, traite d’un sujet déjà brûlant il y a quelques
mois lors de sa présentation à Cannes.
Les maladresses de ce père, François Damiens,
et celles du fils, Finnegan Oldfield, lui succédant ne
mettent pas forcément le spectateur de leurs côtés.
Leur violence contre productive, leur agitation dépourvue de
réflexion, s’ajoutent aux invraisemblances d’un scénario finalement convenu, tourné
avant que le sujet ne soit un marronnier- et c’est son mérite - avec costumes
factices sur fond de belles images.
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