dans la Saône et Loire en Bourgogne à ne pas confondre avec Sainte Cécile les Vignes en Vaucluse, terre des Côtes du Rhône.A l’heure du repas, nous nous détournons sur MOULINS parce qu’en cherchant un restau dans le coin sur mon téléphone, l’annonce du grand café signalé remarquable pour sa déco et son style rocaille daté de 1899 nous attire. Mais le prix attractif (14 € 50 le plat du jour) ajouté à son cadre charmant séduisent les clients, résultat l’établissement est bondé lorsque nous arrivons. Malgré une patronne certes occupée, mais peu accueillante et nous poussant vers la sortie, nous jetons (volons !) un rapide regard à l’intérieur sur les poutrelles métalliques, les peintures un peu fanées, quelques rides sur les murs, ayant échappées à une restauration trop léchée. Ces vestiges d’un passé luxueux témoignent du standing voulu dès la création de l’établissement par son propriétaire, Mr Renoux, car cet ex garçon de café visait un public choisi capable de payer des prix élevés.Nous nous replions sur la brasserie voisine « Le France » où le garçon nous prévient d’une attente de 30 minutes avant de nous servir, mais nous mangeons bien.Nous avons déambulé un peu dans le centre de cette ville moyenne, capitale du Bourbonnais, accompagnés par une pluie intermittente, sans nous accorder le temps de découvrir le centre national du costume et de la scène (CNCS) pourtant réputé mais non prévu dans notre programme.Nous rejoignons donc NEVERS, notre étape suivante, distante d’une cinquantaine de km.
jeudi 30 octobre 2025
Nevers.
dans la Saône et Loire en Bourgogne à ne pas confondre avec Sainte Cécile les Vignes en Vaucluse, terre des Côtes du Rhône.A l’heure du repas, nous nous détournons sur MOULINS parce qu’en cherchant un restau dans le coin sur mon téléphone, l’annonce du grand café signalé remarquable pour sa déco et son style rocaille daté de 1899 nous attire. Mais le prix attractif (14 € 50 le plat du jour) ajouté à son cadre charmant séduisent les clients, résultat l’établissement est bondé lorsque nous arrivons. Malgré une patronne certes occupée, mais peu accueillante et nous poussant vers la sortie, nous jetons (volons !) un rapide regard à l’intérieur sur les poutrelles métalliques, les peintures un peu fanées, quelques rides sur les murs, ayant échappées à une restauration trop léchée. Ces vestiges d’un passé luxueux témoignent du standing voulu dès la création de l’établissement par son propriétaire, Mr Renoux, car cet ex garçon de café visait un public choisi capable de payer des prix élevés.Nous nous replions sur la brasserie voisine « Le France » où le garçon nous prévient d’une attente de 30 minutes avant de nous servir, mais nous mangeons bien.Nous avons déambulé un peu dans le centre de cette ville moyenne, capitale du Bourbonnais, accompagnés par une pluie intermittente, sans nous accorder le temps de découvrir le centre national du costume et de la scène (CNCS) pourtant réputé mais non prévu dans notre programme.Nous rejoignons donc NEVERS, notre étape suivante, distante d’une cinquantaine de km.
jeudi 23 octobre 2025
Aux alentours de Saint Agrève # 2.
jeudi 16 octobre 2025
Mont de Marsan
Adieu Bordeaux, bonjour les Landes !
https://blog-de-guy.blogspot.com/2025/10/bordeaux-4.html
Après nous être éloignés 
de la mégapole et des grands axes routiers, nous nous engageons sur les étroites routes rectilignes qui coupent la forêt de pins, ses sous- bois
de bruyères et de fougères.
Pour les toilettes, nous utilisons celles à disposition sur le parking de la place, impeccablement tenues. Nous profitons dans la foulée de la poste pour retirer de l’argent. Elle s’est installée dans une maison à étages des années 30 typique de la région. Signe des temps, elle a dû se barricader et s’équiper d’un système de protection à l’entrée.
Nous reprenons la route jalonnée par des maisons anciennes basses à colombages menant à MONT-DE- MARSAN.
La préfecture des Landes assoupie dans la torpeur du mois d’août comme vidée de ses habitants parait bien provinciale après notre passage par Bordeaux . Un grand parking souterrain aux emplacements assez larges nous ôte le souci de savoir où entreposer la voiture pour la journée.Nous nous déplacerons facilement à pied, vu la grandeur de la ville et pour commencer, nos pas nous conduisent à l’Office du tourisme occupant un ancien moulin à eau.
L’employée nous apprend la fermeture du musée de la sculpture qui malheureusement, me tentait particulièrement, (Mont-de- Marsan = capitale de la sculpture) il faudra nous contenter de contempler les œuvres exposées en extérieur. C’est le cas de la plongeuse, saisie en suspens dans son saut de l’ange au-dessus de la Midouze fort gracieuse et bien mise en situation. A nous de dénicher les autres.Nous suivrons le trajet touristique fourni par l’Office du tourisme plus tard, passons d’abord à table au pays du bien manger. Nous déjeunons au « Ô bouchon » pour gouter son axoa (recette basque composée de veau mixé poivrons tomate et oignons) accompagné de pommes grenailles.
Nous poursuivons rue du 8 mai 1945 et là apercevons bien les anciennes écuries de la gendarmerie du XIXème, classées elles aussi.
Nous passons devant l’hôtel de ville construit au XIXème -XXème siècle,
Nous apercevons d’ici les trois rivières de Mont de Marsan :
la Douze, la Midou  et la Midouze. 
et la rotonde de la Vignotte (1812) voisine. Depuis convertie en restaurant prestigieux doté de 4 étoiles, la villa ne révèle ses trésors de la belle époque qu’à ses clients, bien qu’il nous fut permis de jeter un bref coup d’œil de l’entrée.
Voilà, La boucle est bouclée.
Le tour de ville nous a pris environ 1h 30 sans nous bousculer. Avant de partir nous remontons la rue Gambetta vers le marché saint Roch, à la recherche d’un cadeau pour ma gardienne de plantes, nous lui choisissons une bouteille de floc et un pot de confiture aux cerises noires.Nous allons récupérer la voiture pour partir vers notre Airbnb à Saint-Pierre-du- Mont : le paradis des moustiques !
Un joli petit appartement nous attend dans un immeuble qui aurait besoin d’un peu plus d’entretien, d’un ravalement, et d’un éclairage en état dans la montée.Le lendemain samedi : jour de marché. Pour l’occasion, la municipalité offre la gratuité des parcmètres durant une tranche horaire de 2 heures.
Le marché à l’extérieur essentiellement sous couvert fourmille de gens, concentration humaine que nous n’aurions pas soupçonnée hier. Les étals exposent des fruits et légumes, des poissons, de la boulange, des produits locaux et aussi des produits exotiques.
Nous nous approvisionnons en conserves régionales auprès d’un commerçant « Chez Lafitte » avec lequel nous engageons facilement la conversation. Il s’avère natif de Mézieux, rugbyman et bavard sympathique. Constatant le couvercle bombé d’un bocal d’Axoa petit modèle, il préfère nous vendre le grand modèle au prix du petit (13€10 au lieu de 23 €), entre pays, on s’entend….Nous sacrifions au plaisir d’un petit café au Potcheen avalée avec une généreuse chocolatine.
Le beau temps se brouille mais la température reste chaude.
Demain retour à Saint Egrève, et fin du récit de nos voyages en 2024.
Bientôt ceux de 2025.
 
 


