L’inoxydable Isabelle Huppert dédicace son livre lors d’un
séjour au pays des cerisiers en fleurs organisé par un éditeur impénétrable lui
aussi.
Bien qu’elle doive son succès d’écrivaine à la description
de la disparition de sa famille, elle a du mal à faire le deuil de son mari ;
elle n’écrit plus.
Pour ce film langoureux, fantomatique, légèrement loufoque
qui vaut plus par ses silences que par ses dialogues engourdis, nous avons
savouré la douce musique.
Comme les albums de « Martine à la plage », nous
suivons « Sidonie au Japon » trottinant d’hôtels déserts et
confortables en hôtels zen au pays des courbettes et des clichés.
Pourtant le Japon vu par un occidental peut avoir bien des
charmes
et les réalisateurs japonais ne déçoivent jamais,
cette fois il faut être bien fatigué des violences
alentours pour trouver quelque apaisement pendant cette heure trente au
scénario minimaliste.
Merci pour l'avertissement... J'espère que ce n'est pas Isabelle Huppert sur la photo, quand même ? Rassure-moi, là...
RépondreSupprimerBien sûr que si.
RépondreSupprimerAAAARGGGHHHH !!!
RépondreSupprimerQue dire d'autre ?
Désolée pour le cri (du coeur)...