Pour mieux apprécier la diversité de la production actuelle de BD, est-il besoin d'aller voir du du côté des stéréotypes éculés du polar américain des années
cinquante avec personnages ankylosés aux révolvers omniprésents sous un scénario sans intérêt?
Les dessins ont beau mettre en valeur les formes féminines
et la puissance masculine qui arrivée à ce point dépasse même la caricature,
ils participent à notre indifférence que les dialogues creux ne peuvent
réveiller.
Parmi les commandements du boss :
« Baise avec qui
tu veux mais n’essaie pas de me baiser ».
Bigard à côté c’est Mathieu Ricard.
Voilà de
quoi exciter des comités de lecture woke dont le verdict quel qu’il soit ne me
gênerait pas, surtout parce que ces 94 pages ne contiennent rien.
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