Dans cet album de 2016, il rassemble sous un titre
prometteur d’un humour woodyallénien, des récits personnels, politiques, des croquis
de réceptions, de vernissages et de SDF.
La quatrième de couverture aurait du m’alerter avec jeu de
mot « le bonheur accidentel » au lieu d’occidental dont il ne fait
rien, par contre il étire sur 28 pages « Le grand cerceau européen » en lieu et place
de « Sursaut européen » où on retrouve sans plaisir DSQ, Hollande et
Sarko.
Affligeant.
Les affres du créateur en milieu mondain ont été vues 1000
fois, un reportage parmi l’entourage de Mélenchon sans distance est d’une
platitude navrante à l’inverse de sa légèreté de jadis. Ses dessins sans parole
demeurent élégants.
C'était mieux avant.
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