Coluche est en couverture de ce numéro qui était resté en
rayon depuis un moment dans ma librairie préférée, mais nous ne sommes pas à un
trimestre près, pour un retour vers les années passées par paquets de dix. http://blog-de-guy.blogspot.fr/2013/06/schnock-n7-ete-13.html
Ce n’est pas qu’un exercice nostalgique : le recul
permet de relativiser les emballements. Celui qui n’hésitait pas à enlever la salopette se
retrouve à nu après tout ce temps (86 : putain de camion). Lederman
témoigne, Miou Miou a apporté des photos, Romain Bouteille et Sotha du café de
la gare parlent des débuts et même des photos anthropométriques sont publiées,
Fred Romano la compagne des années destroy se rappelle et Louis Rego parle du
tournage de « La vengeance du serpent à plumes », un livre noir est
entrouvert, un autre est doré.
Nous en apprenons aussi sur un autre personnage haut en
couleur : Paul Newman, par contre dans un autre article, comme je ne
savais rien au départ d’une certaine Marie France chanteuse avec le groupe
Bijou, je n’ai pu apprécier.
Le rappel des starlettes de Cannes est charmant, et la recension
de quinze jouets aussi : premiers Playmobils, Dinky toys et l’ordi Atari… Le
récit d’un voyage en Allemagne de l’Est
dans les années 70 est exotique. La reprise d’un article de Paul Gégauff
concernant le milieu du cinéma du temps de la Nouvelle vague ne manque
pas de piment dans un ensemble où le style des journalistes est un des atouts
durant 175 pages sur la ligne :
« No future mais No Stalgie »
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