alors qu’elle en fut souvent un ornement.
Souvent ces films ont été des réussites, alors
allons voir « Deux pianos » qui traite parfaitement de l’exigence de cet art pour moi entouré de
mystère.
Charlotte Rampling à la veille de
ses adieux est bouleversante.
Par contre je me montrerai plus piano piano dans
mes éloges concernant l’histoire d’amour plus proche de Zanini dans « tu
veux ou tu veux pas » que de Marivaux.
On n’en fait plus des beaux garçons qui
s’évanouissent en revoyant une ex, par contre nous avons connu des veuves plus
éplorées.
Je resterai donc avec le réalisateur natif de
Roubaix, cette fois en terre lyonnaise, avec un avis contrasté comme lors de
quelques propositions précédentes.

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