Il a la vue très développée : un
jour il réussit à trouver un trou de 1cm, là où respire un phoque.
Chez nous, les français on utilise
le cochon pour tout faire (les boyaux : la peau du saucisson, la
chair : le saucisson …).
Là bas, c’est le phoque on l’utilise pour confectionner
les bottes, les couvertures, les kayaks, les vêtements, la lumière…
Il y avait de la musique en live. J’ai
été étonné quand on a dit qu’il y avait de la batterie, de la harpe en plus des
claviers. C’était très bien.
Nino. C. 10 ans
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Le mot « esquimau » ne désigne plus qu’un ensemble
de langues, les Inuits préférant être nommés du nom de leur tribu particulière,
bien qu’une première traduction aujourd’hui remise en question signifiant
« mangeur de viande crue » est attestée dans ce film de cent ans
d’âge.
Par contre le bâtonnet glacé de chez Gervais doit son nom au héros de
l’histoire au succès planétaire, suscitant des émotions qui ont surmonté le
temps.
L’expression « retour vers la civilisation »
après un premier tournage n’est plus de mise, alors que ces 70 minutes
convoquent notre admiration en suivant la vie quotidienne de ces familles
survivant dans des conditions extrêmes.
La musique lors de ce ciné concert aux accents contemporains
participe à la dramatisation des enjeux et à l’universalité de nos étonnements,
de nos sourires, de nos peurs.
A les voir sans gants la plupart du temps, nous frissonnons. Il
ne faut pas que la température dans l’igloo dépasse zéro degré.
Nanouk qui signifie « ours » est mort de faim peu
de temps après la rencontre avec Robert Flaherty qui s’était repris à deux fois
pour réaliser ce premier documentaire de l’histoire du cinéma.
Un détail, Guy, mais de taille, me semble-t-il...
RépondreSupprimerJe crois qu'il serait préférable de dire "vivant" et pas "survivant", mais c'est ton blog, et pas le mien.
Merci pour tes lectures attentives. Mais j'ai été frappé par la dureté de leurs conditions de vie, loin de l'image romantique de mes années d'écolier, il s'agit bien de survie.
SupprimerMerci pour tes lectures attentives. Mais j'ai été frappé par la dureté de leurs conditions, loin de l'image romantique de mes années d'écolier, il s'agit bien de survie.
RépondreSupprimerOui, je comprends, Guy, mais puisque c'est leur vie, est-ce que nous pouvons la considérer comme de la survie ? Est-ce méprisant de considérer leur vie comme de la survie ? Je ne sais pas. C'est sûr que la nôtre est beaucoup plus douce en comparaison, mais je pressens que notre vie est en train de devenir beaucoup plus dure en ce moment.
RépondreSupprimerS'il y a quelque chose qui me fascine en Occident, c'est la manière dont nous faisons.. retour pour re ?trouver des conditions que tu qualifies de "survie", et tout juste, d'ailleurs. Les camps étaient une exercice, (une "expérience" ?) dans cette recherche de vie de survie (si, si). Pour éprouver ce qui est nécessaire et ce qui ne le serait pas ?
Je trouve que c'est une "expérience" bien triste...