A l’extrémité des Tuileries, côté champs Elysées, Monet, ami de Clémenceau, avait offert à la République à la fin de la première guerre, une œuvre monumentale pour laquelle deux pièces arrondies sont nécessaires : « Les nymphéas » parfaitement éclairés.
Dans « la Sixtine de l’Impressionnisme » d’après André Masson, les reflets des saules, des arbres de Giverny, nous enveloppent.Les variations des lumières au cours d’une journée chez l’auteur d’« Impression, soleil
levant » rencontrent celles que le temps a installées dans nos mémoires
depuis nos premiers émerveillements.
Une exposition temporaire de Philippe Cognée est tout à fait à sa place.
Nous pouvons réviser d’autres impressionnistes de la
collection Walter- Guillaume
(conseillé par Apollinaire, dans tous les bons
goûts de l’époque):
Renoir, Cézanne,
Monet, Sisley,
et d’autres entre 1860 et 1930 : Gauguin, Picasso, Matisse,
Modigliani, Marie Laurencin, Douanier Rousseau, Derain, Utrillo, Soutine ou Van
Dongen.
Sur le site
la personnalité haute en couleurs de la veuve à répétition
de Guillaume remariée à Walter vaut la lecture.
Merci pour la visite, encore. "Les Nymphéas"....oui.
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