Les couleurs tranchées conviennent bien à la description
d’une maison froide voire inquiétante mais le grand-père tellement hostile en arrive
à être peu crédible.
La rigidité des traits ne s’accorde pas au glissement
onirique du récit et ce titre qui promet des saveurs rares n’est représentatif
du récit courant sur 240 pages que par le mot « mort » qui évoque
l’atmosphère angoissante et « trompette » pour le ton tonitruant de
cet album.
« Tu sais, les
poissons rouges sont petits parce qu’on les enferme dans un bocal. »
Des commentateurs évoquent le conflit de générations, encore
faudrait-il qu’elles se parlent : chacune campe dans sa solitude armée.
Sans doute voudrait-"on" nous faire croire que tout ça est... réaliste, voire véridique. Le mot "réaliste" a bon dos depuis longtemps maintenant. Cela en vient à être... pathétique.
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