A la Galerie du Vent
des Cimes jusqu’à fin août Emmanuelle Lemetais exposait ses tableaux aux
vives couleurs lui permettant de rebaptiser Notre Dame de Paris, Belle Dame.
Même si le maquillage
est appuyé, Grenoble, Toulouse, Paris en sont toutes pop. Le musée de Grenoble
s’est recentré sur les artistes de la ville au XIX°siècle,
et si nous retournons faire un tour sur les berges de
l’Isère ou du Drac, la peinture de montagne nous emmène loin, au-delà de Paris, de
l’Italie, ou des bords du Gange.
Des tableaux vertigineux sont aussi proposés au Musée Dauphinois dans son exposition
qui durera jusqu’en juin 2021, concernant les refuges de haute montagne, passés
de la cabane de berger aux hôtels d’altitude. Les dispositifs muséographiques
toujours inventifs de l’institution http://blog-de-guy.blogspot.com/2018/09/musees-dauphinois-et-de-leveche-au-mois.html
contrastent avec un environnement négligé affichant encore à l’entrée des expositions qui n’ont plus lieu et des
informations web incomplètes. Si Eric Alibert et ses calligraphies Alpines au Musée de l’Ancien Evêché jusqu’au 15 novembre fait inévitablement
penser aux « paysages de montagne et d’eau » de la tradition
chinoise, ses chamois, ses oiseaux en mouvement sont magnifiques. Ce lieu nous
ravit toujourshttp://blog-de-guy.blogspot.com/2019/10/le-loup-jean-marc-rochette.html.
Au moment de la parution de cet article, Marjo Van Der Lee parmi d’autres céramistes, ne sera plus à la Grange dîmière au Pin, mais se retrouve sur le web, alors que nous ne manquerons pas de revenir chez les Chartreux de la Sylve Bénite.
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