mardi 15 septembre 2020

L’été diabolik. Smolderen & Clerisse.

A voir les premières images aux couleurs acidulées et la chronique qui s’annonce d’un été 67, il faut arriver au bout des 167 pages pour comprendre  la qualification de cet été et le regard inquiétant tenant la moitié de la couverture flottant au dessus de jeunes gens cigarette au bec et veste à l’épaule croisant une élégante demoiselle.
Dessins pop pour une histoire de flirt gentiment psychédélique sur fond de guerre froide qui de mystères dévoilés en rebondissements se conclut dans l’horreur quand les masques sont tombés.
Roman d'initiation et d’espionnage où se mélangent les genres sous un graphisme qui en met plein la vue au service d’un scénario surprenant. La politesse va aussi avec des manières expéditives, piscine et grenier, amour et colères : le temps a passé et Kennedy a été assassiné.


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