Tous ceux que j’ai rencontrés ont aimé.
Le chorégraphe, le musicien, l’éclairagiste sont au top,
raccords, comme les dix danseurs aux mouvements parfaitement réglés.
Merzouki parmi d’autres nous a amené sur un plateau le hip
hop qui a mis la danse cul par-dessus tête. Cette fois sa troupe grimpe après
les murs, se joue de la pesanteur.
La musique douce parfois, ajoute à l’atmosphère irréelle, aquatique, de certains tableaux où par la délicatesse des éclairages, les acteurs aux positions incroyables semblent des hologrammes. La techno participe à la montée en tension amenant à un bouquet final splendide faisant même taire les turbulentes lycéennes du voisinage.
La musique douce parfois, ajoute à l’atmosphère irréelle, aquatique, de certains tableaux où par la délicatesse des éclairages, les acteurs aux positions incroyables semblent des hologrammes. La techno participe à la montée en tension amenant à un bouquet final splendide faisant même taire les turbulentes lycéennes du voisinage.
Les connotations acrobatiques ajoutent à la beauté des
chorégraphies une touche d’appréhension lorsque se multiplient les chutes, mais
les rebonds viennent immédiatement après.
J’ai préféré les escalades rythmées et synchronisées aux
balancements du début, mais les silhouettes très graphiques sont souvent
magnifiques et la touche humoristique avec élastiques jouant entre les
structures, si elle nuit à la cohérence, peut passer, tant on peut comprendre
qu’une pause soit nécessaire dans cette débauche d’énergie, de virtuosité, de
poésie, de maîtrise et d’inventivité.
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