Afin d’inscrire pour la postérité la recette que Claudine nous
a servi en ce 25 décembre (dire jour de fête et non plus Noël pour ne pas
offenser d’autres religions ; Jésus allant coucher ailleurs), voici ce
qu’elle a dû répéter plusieurs fois :
Depuis 5 jours, elle avait mis pour 15 adultes, son saumon de
1, 5 kg,
tranché en deux beaux filets entourés de film alimentaire à cuire dans le sel :
16 cuillères à soupe de gros sel et 8 cuillères à soupe de
sucre,
avec 4 cuillères à soupe de poivre du moulin, deux bouquets
d’aneth.
Gravlax (nom d'origine suédoise) aux intonations
médicamenteuses signifie « enterré »: tout est dans la préparation.
Si l’on n’a pas laissé la peau, la marinade ne doit durer
que 12 h, sinon c’est trop salé.
Lavez le, épongez, avant de le débiter en s’arrêtant avant
de toucher la peau.
3 tranches par personne avec une sauce au fromage blanc
battu moutarde et miel avec tranche de
citron, oignons (rouges) et aneth, décidément à toutes les étapes, avec cette
fois tomates cerises et mâche en accompagnement.
En plat : avec des pommes de terre, j’ai vu aussi des copeaux
d’asperges sur le net où les éloges sont nombreux pour cette recette simple et
festive.
A la table tout le monde a apprécié la tendreté du poisson
rose.
Si j’ai évité de faire le cuistre des cuisines en narrant
que jadis les valets faisaient stipuler sur leur contrat de ne pas être servi
en saumons plus de trois fois par semaine, c’est que l’anecdote est remise en
question. Par contre le débat sur le bio semble inévitable.
……………..
Une recette, ça faisait longtemps que je n’en avais pas mis
en ligne.
Et comme, je deviens frileux en politique le dessin ce cette
semaine du « Canard » sera dans le ton.
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