Les 60 pages aux couleurs sucrées s’avalent comme un donuts
aux couleurs chimiques, alléchant mais sans saveur.
L’animal
va porter un masque appelé loup et au bout de son errance une audition lui
procure un emploi de musicien qu’il mène sans
grande conviction.
Graphiquement un poisson qui traverse les cases fait
figure de trouvaille dans un morne ensemble qualifié de poétique par certains
alors qu’un arc-en ciel ne suffit pas à mon goût pour conclure une histoire
d’amour sans orage et sans soleil : vide.
Ça fait un certain temps que je trouve que le mot "poésie" ne se porte pas bien...
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