« Si le nombril
des femmes était une lucarne d’où leur enfant, avant de naître, pouvait voir ce
que leur réserve la vie… certains choisiraient sûrement de passer leur
tour. »
Ainsi commence le premier volume, au format d’un disque
Vinyle, d’un récit consacré à Jimi Hendrix qui au bout des 80 pages offre un
répertoire de 52 titres pour accompagner autant de cases grouillantes, aux
noirs lumineux.
Les remarquables dessins parfaitement documentés accrochent
l’attention de ceux qui n’auraient comme image du joueur de guitare avec les
dents, que son appartenance au club des
rockers morts à 27 ans comme Brian Jones, Janis Joplin, Jim Morrison, Amy
Winehouse…ou Basquiat dont la patte convient parfaitement aux musiques
de James Marshall Hendrix,
Nous sommes amenés en amont de 1942, son année de naissance
avec la part apportée par une grand-mère cherokee. Entre une mère alcoolique et
un père violent, il a appris à survivre et à supporter l’instabilité
sentimentale et la précarité de ses contrats de musicien en ses débuts sur
scène. Il y a croisé Little Richard, Elvis Presley, Aretha Franklin, Bob Dylan…
Le gaucher a retenu le son des avions lors de son passage
chez les parachutistes, il joue très fort avec des amplis de plus en plus
puissants.
Il est le plus grand des guitaristes d’après les connaisseurs.
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