Le parcours d’un homme de retour à Naples est le prétexte
d’un portrait coloré d’une ville fascinante.
Les bâtiments qui se dégradent sont photogéniques, les
vespas en folie donnent du rythme.
Le linge aux fenêtres peut apparaître comme un cliché dans
des ruelles où la violence constitue, elle, une réalité puissante malgré la
présence d’une église en barrage bien fragile face à la Camorra.
Pierfrancesco Favino joue Felice le personnage central
revenu après un exil de 40 ans https://blog-de-guy.blogspot.com/2019/11/le-traitre-marco-bellochio.html
au moment où sa maman décède.
La ville n’a pas changé dit-il,
et lui va-t-il abolir le temps en essayant de réparer des forfaits de
jeunesse ?
« La connaissance est dans la nostalgie. Qui ne
s’est pas perdu ne se connaît pas.» Pasolini.
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