Nous
quittons les Sables d’Olonne direction Nantes avec un temps mitigé et venteux.
Nous nous
accordons une étape à La Roche sur Yon.
Nous trouvons à nous garer facilement Place Napoléon en bordure du jardin dominé par la statue équestre de l’Empereur. Des animaux mécaniques voisinent avec des canards et des poissons bien vivants dans des bassins alimentés uniquement par les eaux de pluie. Devant chacun des automates, des commandes sur des consoles avec des explications dessinées permettent de les manœuvrer. Ainsi, une chouette, un ibis, une loutre, des grenouilles poissons un crocodile du Nil ou encore de flamants roses s’agitent tout en produisant des claquements et des grincements de moteur arthritique. Une employée de l’Office du tourisme débloque chaque jour les accès à toutes ces machineries de 10h à 18h, en libre accès aux petits comme aux plus grands.Sur l’un des côtés de la place, à l’opposé de l’église, des murs recouverts de reproductions sous forme de grosses vignettes attirent notre regard. Elles sont de Benjamin Rabier. Ce dessinateur illustrateur natif de la ville doit sa célébrité en partie à ses dessins de La vache qui rit et du canard Gédéon. Nous prenons plaisir à regarder ces images un peu vieillottes des années 30, entre caricature et BD.
Nous trouvons à nous garer facilement Place Napoléon en bordure du jardin dominé par la statue équestre de l’Empereur. Des animaux mécaniques voisinent avec des canards et des poissons bien vivants dans des bassins alimentés uniquement par les eaux de pluie. Devant chacun des automates, des commandes sur des consoles avec des explications dessinées permettent de les manœuvrer. Ainsi, une chouette, un ibis, une loutre, des grenouilles poissons un crocodile du Nil ou encore de flamants roses s’agitent tout en produisant des claquements et des grincements de moteur arthritique. Une employée de l’Office du tourisme débloque chaque jour les accès à toutes ces machineries de 10h à 18h, en libre accès aux petits comme aux plus grands.Sur l’un des côtés de la place, à l’opposé de l’église, des murs recouverts de reproductions sous forme de grosses vignettes attirent notre regard. Elles sont de Benjamin Rabier. Ce dessinateur illustrateur natif de la ville doit sa célébrité en partie à ses dessins de La vache qui rit et du canard Gédéon. Nous prenons plaisir à regarder ces images un peu vieillottes des années 30, entre caricature et BD.
Nous nous avançons
ensuite vers le théâtre bien restauré de style romain. Il s’élève derrière un petit jardin consacré à une végétation abondante dont un panonceau désigne chaque espèce. Pour
l’agrémenter, une grande fontaine laisse
couler l’eau de trois bidons placés sur le haut d’une colonne. Nous
n’investiguerons pas plus la ville, simple étape sur notre trajet, pour nous rendre à notre véritable
destination : NANTES ; nous
la rejoignons par la départementale.
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