et ce titre datant de 2017 appelait à des retrouvailles
du côté de Clermont-Ferrand où passe la
N89, mais il s’agit plutôt de travaux
musicaux expérimentaux.
Sous une pochette aux couleurs rappelant les maillots des
cyclistes de « La vie Claire », les musiques évoquent les travaux de
l’Institut de recherche et coordination acoustique/musique (IRCAM) jadis à la
pointe de la modernité, donc présentement démodées.
Si « Feignasse,
radasse connasse pétasse » de « Dis
le le » accroche l’oreille,
parmi les quatorze chansons présentées en un fil continu qui
peut séduire ou agacer,
nous ne pouvons pas dire que nous n’avons pas été avertis
dès le début :
« Cette fois « Les pensées de Pascal » je m’en fous. »
Les clips n’éclairent pas davantage la nuit électro et dans
le morceau qui donne le titre de l’album, il confirme :
« J’aime pas le travail ».
Dans « Alco » :
« Je crois bien que cette fois ce
sera le (bip) de l’angevine. » Quelle audace !
Je préfère en conclusion dans la « Chanson de Sade » :
« Le temps
emporte nos souvenirs super sapés »
Quand « La vie
me va » :
« En balade viens
partons en balade partons viens partons en balade
En balade là-haut sur la
montagne » C’est là qu’il me va.
« Quel est le
problème Moïse ? »:
« T’aime plus la
musique Vercingectéro. »
C’est donc ça ?
Alors quelques métaphores feront l’affaire dans « Coltrane » pour la touche
jazz :
« Pris dans le
givre du temps essuie-glace. »
Et des réitérations dans « Garçon »:
« Aime moi ceci aime moi cela »
ou dans « Le
chat » :
« N’ouvre pas
n’ouvre pas ».
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