Ces 100 pages de BD de 2018 invitent à aller voir du côté du livre de l’écrivaine précoce, publié en
1954
« Après dîner, je
regardais le ciel éclaboussé d'étoiles, espérant leur chute. Mais nous n'étions qu'en juillet, elles ne bougeaient pas »
et même vers le film d’Otto Preminger avec Jeanne Seberg
s’il est à portée de vue,
malgré un rappel de la déception de Frédéric Beigbeder, tout
indiqué pour préfacer l’album de 104 pages qui fait référence à « On ne
badine pas avec l’amour » et aux « Liaisons dangereuses ».
« Les adaptateurs
sont électriques : le trait obsédé de Frédéric Rébéna (qui évoque Guido
Crépax) ajoute à une œuvre ancienne un surcroit d’énergie. »
Trois femmes : la fille narratrice de l’âge de Sagan,
17 ans, qui par le pouvoir d’un roman qu’elle est en train d’écrire, plutôt que
de réviser son bac, va modifier le cours des amours de son cher papa hésitant
entre sa sensuelle maîtresse et une ancienne amie de sa femme décédée.
Crépuscule au soleil de la Côte d’azur, bien rendu en de
froides couleurs et des traits élégants aux dialogues tendus où l’ennui a de
l’espace pour s’occuper.
Je ne comprends pas trop. Ce sont des extraits du livre de Sagan, sous forme de B.D. ? Une réécriture illustrée ?
RépondreSupprimerRéécriture avec de vrais morceaux dedans.
RépondreSupprimerO.K. Merci.
RépondreSupprimerLa glose a un avenir, je vois...