Bien sûr quand une vieille dame est embauchée par le
tenancier d’une échoppe qui vend des macarons au coin de la rue et que celle-ci
va être appréciée d’une clientèle
grandissante, la situation ne peut pas durer.
C’était trop beau, trop tendre, mais cela reste
délicieux : sous les masques souvent imperturbables, les résiliences se
mettent en route.
Les cerisiers en fleurs sont magnifiques, même dans un
environnement banal. Au rythme des saisons sans flonflons, nous partageons
volontiers ces tranches de vies. Bien
plus que la recette des dorayakis fourrés aux haricots confits se transmettent des
façons d’apprécier le temps, et gagner en liberté quand on a apprivoisé ses
faiblesses.
Oui, c'était un beau film, n'est-ce pas ?
RépondreSupprimerMais je trouve que le film a le mérite de nous rappeler que notre vie commence en étant une vie de la bouche. Pas QUE la bouche, mais la bouche aussi. Inséparable de tout le reste. Parce que le corps n'est pas d'un côté, pendant que la tête est de l'autre.
Pas du tout...