« … je sais pas à
quoi il sert ».
Le dessinateur qui a travaillé à Charlie hebdo, nous livre un
riche carnet de dessins et de textes après le 11 janvier.
Et comme le disait Sartre : « c'est l'antisémitisme qui crée le
juif »,
l’auteur du « Chat du rabbin » s’interroge sur sa condition et rapporte cette blague :
«
de ne pas manger casher est excellent pour la santé parce que ça évite de
prendre une balle ».
Avec
sincérité, auto dérision, il revoit sa place d’homme après le départ de
sa femme, la mort de ses parents, d’humain dans un monde où la barbarie
progresse.
Si l’éclectisme du réalisateur impressionne,
http://blog-de-guy.blogspot.fr/2011/09/le-chat-du-rabbin-joann-sfar.html
http://blog-de-guy.blogspot.fr/2013/02/jeangot-1-renard-manouche-joann-sfar.html
http://blog-de-guy.blogspot.fr/2012/01/le-petit-prince-joann-sfar-saint.html
son omniprésence dans les médias peut agacer, pourtant c’est bien parce que je l’ai entendu à la radio que j’ai choisi d’acheter ce recueil de 220 pages, et je ne me suis pas trompé.
http://blog-de-guy.blogspot.fr/2011/09/le-chat-du-rabbin-joann-sfar.html
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son omniprésence dans les médias peut agacer, pourtant c’est bien parce que je l’ai entendu à la radio que j’ai choisi d’acheter ce recueil de 220 pages, et je ne me suis pas trompé.
Comme Shneiderman chez Finkielkrault l’autre
samedi, il vacille. Mais les traces fines de sa plume comme celles d’un
sismographe sont élégantes, ses mots tracés à la main font partager une
sensibilité toujours teintée d’un humour léger pour ne rien asséner. Son
corbeau se pose sur notre épaule et nous
adressons des caresses à son chat qui ne l’a pas abandonné mais se montre sans
complaisance, ses interrogations deviennent les nôtres, et ses traits bien à lui nous font du bien.
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