 Je n’ai pas partagé certains rires de la salle, bien que les acteurs tels que Daroussin puissent les appeler, tant ce qui est en jeu dans ce film de Mathias Kogalp m’a paru brutal, fatal, sans pitié. Lors d’une réception d’entreprise en voie de restructuration, difficile de prendre du recul pour démêler ce qui est de l’ordre  de la manipulation, du théâtre alors que le cynisme est le moteur essentiel  d’un maelstrom où les individus  se débattent mais sont noyés. Approche originale, au montage efficace, des mensonges, des tensions  en territoire capitaliste sous les lambris d’un hôtel particulier. Bon titre.
Je n’ai pas partagé certains rires de la salle, bien que les acteurs tels que Daroussin puissent les appeler, tant ce qui est en jeu dans ce film de Mathias Kogalp m’a paru brutal, fatal, sans pitié. Lors d’une réception d’entreprise en voie de restructuration, difficile de prendre du recul pour démêler ce qui est de l’ordre  de la manipulation, du théâtre alors que le cynisme est le moteur essentiel  d’un maelstrom où les individus  se débattent mais sont noyés. Approche originale, au montage efficace, des mensonges, des tensions  en territoire capitaliste sous les lambris d’un hôtel particulier. Bon titre.
lundi 28 septembre 2009
Rien de personnel
 Je n’ai pas partagé certains rires de la salle, bien que les acteurs tels que Daroussin puissent les appeler, tant ce qui est en jeu dans ce film de Mathias Kogalp m’a paru brutal, fatal, sans pitié. Lors d’une réception d’entreprise en voie de restructuration, difficile de prendre du recul pour démêler ce qui est de l’ordre  de la manipulation, du théâtre alors que le cynisme est le moteur essentiel  d’un maelstrom où les individus  se débattent mais sont noyés. Approche originale, au montage efficace, des mensonges, des tensions  en territoire capitaliste sous les lambris d’un hôtel particulier. Bon titre.
Je n’ai pas partagé certains rires de la salle, bien que les acteurs tels que Daroussin puissent les appeler, tant ce qui est en jeu dans ce film de Mathias Kogalp m’a paru brutal, fatal, sans pitié. Lors d’une réception d’entreprise en voie de restructuration, difficile de prendre du recul pour démêler ce qui est de l’ordre  de la manipulation, du théâtre alors que le cynisme est le moteur essentiel  d’un maelstrom où les individus  se débattent mais sont noyés. Approche originale, au montage efficace, des mensonges, des tensions  en territoire capitaliste sous les lambris d’un hôtel particulier. Bon titre.
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