 La description  de la classe ouvrière est suffisamment rare dans le cinéma français pour appeler toutes les indulgences.  Mais  ce film souffre de la comparaison à l’égard des productions anglaises en abusant des symboles,  jusqu’à l’onirisme parfois ; c’est un comble, ce manque de réalisme. Ici les allusions au western m’ont semblé artificielles comme l’importance prise par le décor. Cette cité ne reste qu’un « extérieur » à l’abandon. Bacri, débitant ses brutales vérités, est excellent. Bien que certaines scènes soient appuyées comme les locaux syndicaux vidés pour laisser place à la prière musulmane, le film est sympathique et porte un regard utile sur un monde qui meurt mais l’on ne sait rien entrevoir de celui qui émerge.
La description  de la classe ouvrière est suffisamment rare dans le cinéma français pour appeler toutes les indulgences.  Mais  ce film souffre de la comparaison à l’égard des productions anglaises en abusant des symboles,  jusqu’à l’onirisme parfois ; c’est un comble, ce manque de réalisme. Ici les allusions au western m’ont semblé artificielles comme l’importance prise par le décor. Cette cité ne reste qu’un « extérieur » à l’abandon. Bacri, débitant ses brutales vérités, est excellent. Bien que certaines scènes soient appuyées comme les locaux syndicaux vidés pour laisser place à la prière musulmane, le film est sympathique et porte un regard utile sur un monde qui meurt mais l’on ne sait rien entrevoir de celui qui émerge.
lundi 7 septembre 2009
Adieu Gary
 La description  de la classe ouvrière est suffisamment rare dans le cinéma français pour appeler toutes les indulgences.  Mais  ce film souffre de la comparaison à l’égard des productions anglaises en abusant des symboles,  jusqu’à l’onirisme parfois ; c’est un comble, ce manque de réalisme. Ici les allusions au western m’ont semblé artificielles comme l’importance prise par le décor. Cette cité ne reste qu’un « extérieur » à l’abandon. Bacri, débitant ses brutales vérités, est excellent. Bien que certaines scènes soient appuyées comme les locaux syndicaux vidés pour laisser place à la prière musulmane, le film est sympathique et porte un regard utile sur un monde qui meurt mais l’on ne sait rien entrevoir de celui qui émerge.
La description  de la classe ouvrière est suffisamment rare dans le cinéma français pour appeler toutes les indulgences.  Mais  ce film souffre de la comparaison à l’égard des productions anglaises en abusant des symboles,  jusqu’à l’onirisme parfois ; c’est un comble, ce manque de réalisme. Ici les allusions au western m’ont semblé artificielles comme l’importance prise par le décor. Cette cité ne reste qu’un « extérieur » à l’abandon. Bacri, débitant ses brutales vérités, est excellent. Bien que certaines scènes soient appuyées comme les locaux syndicaux vidés pour laisser place à la prière musulmane, le film est sympathique et porte un regard utile sur un monde qui meurt mais l’on ne sait rien entrevoir de celui qui émerge.
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