Dans la grande maison d’architecte isolée où est attendu un
tueur en série, le huis clos se voudrait étouffant.
Le lettrage, le fin graphisme participent avec élégance à une
atmosphère glaçante. Mais l’esthétisme éloigne toute émotion et malgré des
dialogues ciselés, nous restons indifférents à cette histoire dont les
personnages semblent étrangers les uns aux autres.
De belles lignes inhabitées.
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