mardi 16 décembre 2025

Les garde-fous. Bézian.

Dans la grande maison d’architecte isolée où est attendu un tueur en série, le huis clos se voudrait étouffant. 
Le lettrage, le fin graphisme participent avec élégance à une atmosphère glaçante. Mais l’esthétisme éloigne toute émotion et malgré des dialogues ciselés, nous restons indifférents à cette histoire dont les personnages semblent étrangers les uns aux autres.  
De belles lignes inhabitées.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire