la reprise de la très célèbre comédie musicale des années 20,
avec un orchestre de 20 musiciens : les fêtes de Noël avaient pris de
l’avance.
Les imperméables sont dorés, la pluie est une bruine et même
si les voies sur berge étaient submergées par une eau tellement attendue, nous
avons gouté la métaphore, quand pour nous ce n’est que de l’eau qui tombe des
cintres et non des bombes et qu’il fait bon depuis l’enfance de danser dans les
flaques.
La compagnie a la politesse de sur titrer les chansons et de
jouer en français, la musicalité de la langue anglaise est respectée. La
dynamique de la chorégraphie, l’optimisme des mélodies, l’impulsion donnée par
les claquettes constituent un langage universel.
Ce monument du music hall de
Gene Kelly et Stanley Donen situé au moment du passage du cinéma muet au
parlant sous se airs enjoués, nous parle aussi du vrai et du faux depuis
Hollywood.
L’illusion est préférable parfois à une réalité dont nous sommes
amenés à douter quand trop de fake news
se mettent au balcon.
« Let’s sing in
the rain »
Sympathique. Merci.
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