dimanche 20 novembre 2022

Schnock n°44.

« Salut ! Tu-Vas-Bien ? » 
«Les Inconnus » ne le seront plus guère après 84 pages que lui consacre la revue des 27 à 87 ans.
« Bernard c’est plus le rock indé. Didier a une formation de guitariste classique et des goûts assez étranges (rires), comme les chansons de vampires, il est très à l’aise dans beaucoup de styles. Pascal, c’est la culture du jazz, de musiques brésiliennes et de soul… »
Leurs parodies étaient très musicales et l’évocation de leurs sketchs constitue une agréable révision d’années souriantes.
Didier Bourdon, Bernard Campan, Pascal Légitimus nous ont bien fait marrer : « Les trois frères »  ont été vus par 7 millions de spectateurs en 1995 : « cent patates ! »
Il reste de la place pour d’autres articles toujours bien troussés.
Si Jean Louis Livi, neveu d’Yves Montand, a pu passer incognito dans nos vies, son rôle de producteur lui a fourni un carnet d’adresses de stars, nous avons forcément croisé Philippe Labro qui a touché au journalisme à la télé, à la radio, dans la presse écrite, la chanson, la littérature, le cinéma.
J’avais retenu de Pompidou davantage son passage chez Rothschild que son Anthologie de la poésie française. Interrogé sur l’affaire Russier, il pouvait citer Eluard : 
« Comprenne qui voudra, moi mon remords ce fut la victime raisonnable, au regard d’enfant perdue, celle qui ressemble aux morts qui sont morts pour être aimés. » 
On peut trouver dans le passé des confirmations et des découvertes.
« La saison cinématographique » de 66 à 93 recensait chaque année tous les films : «  La petite sainte y touche » et Jean Rouch.
Doisneau avait saisi des images d’un duel en 1949 entre un nostalgique de Napoléon et un journaliste : arrêt au premier sang.
Dans les rubriques habituelles puisqu’il s’agit pour les livres, les musiques ou les films de dégoter des trésors : Jean Amila auteur de la série noire m’avait échappé, Extraballe était resté au secret et caché « Le dossier 51 » de Deville.
Par contre le top 15 de la lingerie féminine sera accompagné pour longtemps encore de la musique de Dim et du regret de ne plus voir Aubade aux arrêts de bus.       

1 commentaire:

  1. Oui, je peux partager le regret de ne plus voir Aubade aux arrêts de bus. Les femmes étaient belles, et elles me faisaient doucement rêver, moi qui suis... une femme, et pas homosexuelle ou lesbienne pour deux sous. La vie est compliquée comme dit ma belle mère.

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