Balloté de haut en bas, j’ai aimé l’énergie, l’humour des
deux amies et le renouvellement de la question du « mentir vrai » posée par les
deux virevoltantes comédiennes débutantes.
La hardiesse du duo échappant aux habituelles connotations homosexuelles, bouscule tout sans nuances, y compris les soignants quand la comédie passe au drame.
Les expressions telles « on lâche rien » fleurissent peut être un peu trop, avant un pathos final qui n’échappe pas à « je suis dans la chambre d’à côté » incontournable des kits funéraires.
La hardiesse du duo échappant aux habituelles connotations homosexuelles, bouscule tout sans nuances, y compris les soignants quand la comédie passe au drame.
Les expressions telles « on lâche rien » fleurissent peut être un peu trop, avant un pathos final qui n’échappe pas à « je suis dans la chambre d’à côté » incontournable des kits funéraires.
Les excès dans le rire comme dans les larmes des deux épatantes artistes
Souheila Yacoub et Déborah Lukumuena participent au plaisir de leur découverte.
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