Une jolie séquence avec « Les eaux de Mars » chantées
autrefois par Moustaki; en VO c’est encore meilleur :
« C'est le pied qui avance à pas sûr, à
pas lent
C'est la main qui se tend, c'est la pierre qu'on lance
C'est un trou dans la terre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire »
C'est la main qui se tend, c'est la pierre qu'on lance
C'est un trou dans la terre, un chemin qui chemine
Un reste de racine, c'est un peu solitaire »
La volonté de liberté de la quinqua bien avancée se nuance
dans un éternel sourire pas dupe. Elle
veut refaire sa vie, mais malgré des conditions de vie middle class, le poids
du passé, l’éloignement des enfants, les
lâchetés habituelles des mâles feront qu’après avoir posé ses lunettes, elle se
contentera d’un tour sur la piste de danse, seule.
« Gloria c'est
toi qui manques dans l'air
tu manques autant que le sel
tu me manques plus que le soleil
fais fondre cette neige
qui étouffe ma poitrine
je t'attends Gloria. » Umberto Tozzi.
tu manques autant que le sel
tu me manques plus que le soleil
fais fondre cette neige
qui étouffe ma poitrine
je t'attends Gloria. » Umberto Tozzi.
Les rimes nous arrangent des moments à saisir, pour la prose
quotidienne : faire avec.
Entendu sur France Musiques ce matin, la sempiternelle litanie sur Fanny Mendelssohn, "écrasée par son grand frère génie".
RépondreSupprimerToutes ces pauvres femmes...Sortez les mouchoirs ; vous avez droit à cinq minutes de compassion autorisée, pour les victimes...
Je vote pour qu'on leur donne des fusils et qu'elles partent en guerre.
Manifestement nous croyons qu'il n'y a qu'elles... qui ont du courage maintenant.
Triste.
S'il y a une chose qui arrive dans une civilisation qui se gargarise de la liberté pour tous, c'est de chercher toujours de nouveaux combats pour la "liberté" dans une fuite éperdue en avant...
Sans se rendre compte à quel point on se rend esclave ainsi..
C'est vieux comme le monde.
Sigh.