Un enfant pénible, des parents qui se mentent, débordés. Une
nounou philippine arrive dans la maison : qui a le pouvoir ? Qui est
écrasé ?
Humiliation, jalousie, les personnages vont évoluer.
La violence à Singapour, là bas comme ici, économique,
sociale, confessionnelle.
Une impression de déjà vu pour un cinéma asiatique qui sait
traiter les tensions familiales, la façon de filmer n’est pas vraiment novatrice et ce serait
plutôt « la caméra dort » qui aurait pu lui être attribuée à Cannes,
tant la trace de ce film s’est évaporée rapidement depuis que je l’ai découvert
en mai.
J’avais
titré mon avis sur le site City Vox : « une tension
douce ».
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