Dans les combinaisons amoureuses possibles, l’option : « je couche avec le fils de mon amie » n’avait pas été très explorée, à ma connaissance, et j’étais curieux de voir comment la réalisatrice de « Nettoyage à sec » avait traité le sujet.
Nous aurions envie de croire à ces générations successives descendant le
chemin vers la plage, mais les inaltérables grands-mères sont des mères totalement absentes.
Aucune complexité, aucune nuance, aucune émotion, film de
surfer. Les tourments du vieillissement ne sont même pas traités, et nous ne
pouvons croire à ce ponton sur des eaux turquoise hors du temps, hors du monde,
où les beaux garçons sont bien mal élevés. N’incestons pas : ce paradis
bidon est un enfer qui ment, un enfermement.
Au paradis, les fils calent.
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