J’avais beaucoup aimé « Le journal du père » du même auteur qui m’avait convaincu que les mangas ne sont pas fait que d’éclairs et de zigzags mais témoignent d’une vision originale et fine d’une civilisation. Ce volume, malgré une riche idée de départ, m’a déçu.
Après un accident le jeune motard va sortir de son coma en portant la mémoire de celui qui l’a percuté. Va-t-il réparer cette vie qu’il ne savait plus consacrer à sa femme et à sa fille ?
Car au Japon, savez-vous, les cadences sont infernales.
C’est vraiment trop mélo, mièvre et même les dessins qui sont parfois intéressants,
dans certains plans aux gros yeux, m’ont parus bien conventionnels.
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