 Quelques scènes réussies  en ouverture de ce film de Nobuhiro Suwa et Hippolyte Girardot où deux fillettes posent de bonnes questions à des adultes assez immatures, en voie de séparation. Puis la fantaisie légère qui faisait le charme initial devient invraisemblable. La petite japonaise et son amie un moment drôles et émouvantes deviennent horripilantes. Des scènes soit disant dans le rêve plombent au contraire le film au final bâclé. Et c’est toujours un certain cinéma français qui se déroule  paresseusement dans des milieux où n’existent pas les contraintes économiques. On peut  cependant y amener sa fille ou sa petite fille pour les changer des films d’animation, cette amitié avec ses  complicités peut leur parler.
Quelques scènes réussies  en ouverture de ce film de Nobuhiro Suwa et Hippolyte Girardot où deux fillettes posent de bonnes questions à des adultes assez immatures, en voie de séparation. Puis la fantaisie légère qui faisait le charme initial devient invraisemblable. La petite japonaise et son amie un moment drôles et émouvantes deviennent horripilantes. Des scènes soit disant dans le rêve plombent au contraire le film au final bâclé. Et c’est toujours un certain cinéma français qui se déroule  paresseusement dans des milieux où n’existent pas les contraintes économiques. On peut  cependant y amener sa fille ou sa petite fille pour les changer des films d’animation, cette amitié avec ses  complicités peut leur parler.
lundi 4 janvier 2010
Yuki et Nina
 Quelques scènes réussies  en ouverture de ce film de Nobuhiro Suwa et Hippolyte Girardot où deux fillettes posent de bonnes questions à des adultes assez immatures, en voie de séparation. Puis la fantaisie légère qui faisait le charme initial devient invraisemblable. La petite japonaise et son amie un moment drôles et émouvantes deviennent horripilantes. Des scènes soit disant dans le rêve plombent au contraire le film au final bâclé. Et c’est toujours un certain cinéma français qui se déroule  paresseusement dans des milieux où n’existent pas les contraintes économiques. On peut  cependant y amener sa fille ou sa petite fille pour les changer des films d’animation, cette amitié avec ses  complicités peut leur parler.
Quelques scènes réussies  en ouverture de ce film de Nobuhiro Suwa et Hippolyte Girardot où deux fillettes posent de bonnes questions à des adultes assez immatures, en voie de séparation. Puis la fantaisie légère qui faisait le charme initial devient invraisemblable. La petite japonaise et son amie un moment drôles et émouvantes deviennent horripilantes. Des scènes soit disant dans le rêve plombent au contraire le film au final bâclé. Et c’est toujours un certain cinéma français qui se déroule  paresseusement dans des milieux où n’existent pas les contraintes économiques. On peut  cependant y amener sa fille ou sa petite fille pour les changer des films d’animation, cette amitié avec ses  complicités peut leur parler.
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