Un père de famille pakistanais vient de mourir. Son épouse,
sa fille et son fils doivent se débrouiller- surtout elles.
La chronique des
jours et de la relation entre générations est paisible jusqu’à ce qu’une brique
soit lancée contre le pare-brise de la voiture que la jeune fille conduit.
La belle
cependant commence une gentille romance avec un doux jeune homme, en discordance
avec une société où les comportements et les lois étouffent la liberté dans des
proportions inimaginables au XXI° siècle.
Un drame survient qui fait naitre de
nouveaux fantômes.
Les non-dits génèrent la folie alors que la réalité de « briques
et de brocs » est soumise aux malhonnêtes.
Dans la narration, le genre
fantastique convoqué pour supporter une existence d’oppression, brouille les
connaissances que nous aurions pu acquérir sur un pays brutal, trois fois plus
peuplé que la France.
Et bé... j'en ai beaucoup marre de nos pas si nouvelles que ça volontés d'évangélisation sur le dossier des femmes, comme tu le sais déjà.
RépondreSupprimerEn réponse au propos de ce film, qui, à mon avis, rend la situation de ces pays encore plus explosive en constituant une... élite ? mondialiste s'affranchissant de son sentiment d'appartenance à un terroir ? un peuple ? ancré dans un lieu au profit de nébuleux idéaux désincarnés et... sans frontière, je propose la lecture de Jean-Christophe Rufin, "La Salamandre", un vieux livre très instructif qui regarde le problème depuis l'Europe et les pays SE PENSANT CIVILISES ET CULTIVES, et le prix à payer pour toute cette... civilisation et cette culture. (Comme quoi la barbarie peut aussi être une affaire de perspective.)
Pas la peine d'en dire plus : c'est Rufin qui instruit le cas, et il le fait très bien, et avec art, même. A méditer en sortant des nouveaux films évangélistes, pour notre... salut.
Il se peut que ce film invite à une réflexion complexe. Le malheur, c'est que l'intox médiatique est si simpliste que cela ne m'invite pas à nuancer... mes propos.
Et oui, j'ai toujours été une grande pécheresse, et je suppose que ce n'est pas maintenant que je vais changer.