« A présent on
dit qu’il serait là dans les abysses des hebdomadaires sportifs gorgés d’eau…
là où rêvent les noirs cœlacanthes… Là, sur cette ligne profonde d’obscurité et
d’étoiles où la mer murmure à l’oreille d’une poupée de verre brisée… »
Un canardeau, non pas Canardo, détective privé de Sokal, lui
c’est plutôt genre Fifi de Riri et Fifi, enquête sur la disparition d’une fille
dont « l’unique passion est la peur ». Il n’arrête ni de fumer ni de
se faire voler dans les plumes.
Nous demeurons encore plus à l’extérieur de l’univers noir
qu’il fréquente que lui même.
L’usage de trames accentue le côté daté (2003) de ces 48
pages vite lues qui ne jouent même pas avec les stéréotypes et nous laissent indifférents.
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