Ni l’un ni l’autre, ni l’autre. Promenade en milieu artiste au Québec, un sourire désenchanté aux lèvres.
La liberté, une certaine désinvolture en phase de ralentissement, entrent dans des combinaisons diverses au cours de rencontres éphémères. Les dessins sont d’un érotisme léger, et se caractérisent plutôt par leur énergie ; quant aux sentiments ils sont assez peu explicites.
Le transport des citadins vers un hôtel abandonné apporte un brin de mystère.
Quelques fantasmes, de la poésie, amènent au-delà de la chronique habituelle qui traite de trentenaires entrant dans l’âge adulte.
« Dessiner une femme c’est déguster une crème brûlée.
Dessiner un homme c’est remplir un formulaire. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire