 Si ce n’avaient été les Coen à la manœuvre,  je ne serais pas allé voir ce western de chez west ; à la sortie c’est  le plaisir du cinéma éternel des grands espaces photogéniques où pétaradent des  archétypes rassurants. Pour ma part je n’ai pas  décelé la distance habituelle des réalisateurs avec le genre fondateur d’une Amérique qui tient tellement à ses guns. Le titre signifie « avoir du cran » même si « a grit » est un caillou dans la chaussure.
Si ce n’avaient été les Coen à la manœuvre,  je ne serais pas allé voir ce western de chez west ; à la sortie c’est  le plaisir du cinéma éternel des grands espaces photogéniques où pétaradent des  archétypes rassurants. Pour ma part je n’ai pas  décelé la distance habituelle des réalisateurs avec le genre fondateur d’une Amérique qui tient tellement à ses guns. Le titre signifie « avoir du cran » même si « a grit » est un caillou dans la chaussure.Quête initiatique comme d’hab’ avec trois personnages tellement différents, condamnés à se supporter, à se compléter, à se sauver.
La jeune fille au chapeau charmant genre « l’Amant » a la langue bien pendue et mène ses machos par le bout du nez, et ce n’est pas conventionnel. Mais peut être que Sarah Palin a aimé.
 
 
J'ai trouvé très décevant (Coen oblige ...); sans progrès - sauf of course la bande son - par rapport au film d'Hathaway de 1969.
RépondreSupprimerJe ne comprends pas les enthousiasmes de la critique.
Rien à voir avec un vrai renouvellement, comme par exemple Appaloosa, d'Ed Harris.