 Depuis sa sortie en 1965, je ne suis pas allé  voir ce film sur  la guerre  d’Indochine: j’étais anti militariste. A le découvrir maintenant,  je reconnais que les aliments à une critique envers l’armée occupant un autre pays, ne manquent pas. Ce face à face entre un jeune officier fougueux et un vieux briscard, lors d’une retraite sans espoir, est efficace et prenant. Film âpre, désespéré qui montre avec force, la violence des rapports humains quand la mort est derrière chaque touffe de bambous. Un grand film essentiel, sans tapage, une tragédie implacable. Bruno Crémer et Jacques Perrin ont toute la profondeur et la complexité que ne connaissent pas les films américains du même genre qui ont  pourtant une notoriété bien plus grande. Orsenna a participé à l’écriture et Schoendorffer savait bien de quoi il parlait.
Depuis sa sortie en 1965, je ne suis pas allé  voir ce film sur  la guerre  d’Indochine: j’étais anti militariste. A le découvrir maintenant,  je reconnais que les aliments à une critique envers l’armée occupant un autre pays, ne manquent pas. Ce face à face entre un jeune officier fougueux et un vieux briscard, lors d’une retraite sans espoir, est efficace et prenant. Film âpre, désespéré qui montre avec force, la violence des rapports humains quand la mort est derrière chaque touffe de bambous. Un grand film essentiel, sans tapage, une tragédie implacable. Bruno Crémer et Jacques Perrin ont toute la profondeur et la complexité que ne connaissent pas les films américains du même genre qui ont  pourtant une notoriété bien plus grande. Orsenna a participé à l’écriture et Schoendorffer savait bien de quoi il parlait.
lundi 2 novembre 2009
La 317ième section
 Depuis sa sortie en 1965, je ne suis pas allé  voir ce film sur  la guerre  d’Indochine: j’étais anti militariste. A le découvrir maintenant,  je reconnais que les aliments à une critique envers l’armée occupant un autre pays, ne manquent pas. Ce face à face entre un jeune officier fougueux et un vieux briscard, lors d’une retraite sans espoir, est efficace et prenant. Film âpre, désespéré qui montre avec force, la violence des rapports humains quand la mort est derrière chaque touffe de bambous. Un grand film essentiel, sans tapage, une tragédie implacable. Bruno Crémer et Jacques Perrin ont toute la profondeur et la complexité que ne connaissent pas les films américains du même genre qui ont  pourtant une notoriété bien plus grande. Orsenna a participé à l’écriture et Schoendorffer savait bien de quoi il parlait.
Depuis sa sortie en 1965, je ne suis pas allé  voir ce film sur  la guerre  d’Indochine: j’étais anti militariste. A le découvrir maintenant,  je reconnais que les aliments à une critique envers l’armée occupant un autre pays, ne manquent pas. Ce face à face entre un jeune officier fougueux et un vieux briscard, lors d’une retraite sans espoir, est efficace et prenant. Film âpre, désespéré qui montre avec force, la violence des rapports humains quand la mort est derrière chaque touffe de bambous. Un grand film essentiel, sans tapage, une tragédie implacable. Bruno Crémer et Jacques Perrin ont toute la profondeur et la complexité que ne connaissent pas les films américains du même genre qui ont  pourtant une notoriété bien plus grande. Orsenna a participé à l’écriture et Schoendorffer savait bien de quoi il parlait.
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