Parce qu’elle n’avait pas laissé entrer une jeune
femme, une heure après la fermeture de son cabinet de médecin, sous caméra de
surveillance, la jeune médecin généraliste se sent tellement coupable qu’elle
va perdre toute prudence pour aller à la recherche du nom de cette personne
retrouvée morte au bord de la Meuse.
Alors qu’elle venait de conseiller à un interne stagiaire de ne pas se laisser envahir par ses émotions, afin d’établir des diagnostics plus justes, elle va se consacrer corps et âme à une investigation sur cette disparition.
Alors qu’elle venait de conseiller à un interne stagiaire de ne pas se laisser envahir par ses émotions, afin d’établir des diagnostics plus justes, elle va se consacrer corps et âme à une investigation sur cette disparition.
Une réalité sociale désespérante se révèle tout au
long du film.
Le label "Dardenne" a conquis depuis longtemps le
public et les jurys, mais cette fois des scènes inutiles, pataudes, banalisent
un produit qui aurait pu être diffusé en
feuilleton du temps de l’ORTF sous le titre : « Le bon docteur mène
l’enquête »
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