 En ce moment à la Fnac, cinq DVD pour 30€ ; j’ai trouvé ce film à la gloire des cassettes vidéos VHS. Au début j’ai eu du mal à  adhérer à l’humour potache de cette histoire pourtant annoncée comme déjantée par « Le Monde », puis je me suis laissé séduire par  la créativité crépitante de Gondry dont j’avais apprécié la poésie contemporaine dans « Eternal sunshine ». Même si je n’ai pas toutes les clefs pour apprécier toutes les allusions à la filmographie américaine, cet hymne original au cinéma,  valorise aussi l’amateurisme, la solidarité. Une parenthèse souriante.
En ce moment à la Fnac, cinq DVD pour 30€ ; j’ai trouvé ce film à la gloire des cassettes vidéos VHS. Au début j’ai eu du mal à  adhérer à l’humour potache de cette histoire pourtant annoncée comme déjantée par « Le Monde », puis je me suis laissé séduire par  la créativité crépitante de Gondry dont j’avais apprécié la poésie contemporaine dans « Eternal sunshine ». Même si je n’ai pas toutes les clefs pour apprécier toutes les allusions à la filmographie américaine, cet hymne original au cinéma,  valorise aussi l’amateurisme, la solidarité. Une parenthèse souriante.
lundi 29 juin 2009
« Soyez sympas, rembobinez. »
 En ce moment à la Fnac, cinq DVD pour 30€ ; j’ai trouvé ce film à la gloire des cassettes vidéos VHS. Au début j’ai eu du mal à  adhérer à l’humour potache de cette histoire pourtant annoncée comme déjantée par « Le Monde », puis je me suis laissé séduire par  la créativité crépitante de Gondry dont j’avais apprécié la poésie contemporaine dans « Eternal sunshine ». Même si je n’ai pas toutes les clefs pour apprécier toutes les allusions à la filmographie américaine, cet hymne original au cinéma,  valorise aussi l’amateurisme, la solidarité. Une parenthèse souriante.
En ce moment à la Fnac, cinq DVD pour 30€ ; j’ai trouvé ce film à la gloire des cassettes vidéos VHS. Au début j’ai eu du mal à  adhérer à l’humour potache de cette histoire pourtant annoncée comme déjantée par « Le Monde », puis je me suis laissé séduire par  la créativité crépitante de Gondry dont j’avais apprécié la poésie contemporaine dans « Eternal sunshine ». Même si je n’ai pas toutes les clefs pour apprécier toutes les allusions à la filmographie américaine, cet hymne original au cinéma,  valorise aussi l’amateurisme, la solidarité. Une parenthèse souriante.
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