L’avidité surjouée de la famille visant les Louis d’or de la
vieille qui reçoit chez elle toutes les générations fait partie du plaisir d’une lecture facile
aux personnages caricaturaux où ne manque ni la malice, ni la tendresse. Une
comédie.
Ah la politique après l’élection de Mitterrand, les préjugés
de l’époque qu’on regarde de haut cinquante ans plus tard, le rugby le dimanche
à Gaillac, les tromperies et les réconciliations, des surprises, les blessures
et la vie qui va … Macarel !
« Ça doit être ça, la vieillesse...
Un
vieux piano qui se désaccorde lentement,
mais dont personne ne remarque les
fausses notes... »
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