Mendelssohn,
De Falla,
Moussorgski
et Schönberg
sont au programme d’un orchestre plantureux dirigé par
l’énergique Johanna Malangré.
Au pays des rêves et des étoiles, pas besoin de vidéo pour
que les auditeurs puissent répondre à la question initiale, chacun pour soi,
sans injonction.
On peut se laisser bercer par l’ouverture du « Songe
d’une nuit d’été » du romantique allemand moins sombre
que « Nuits
dans les jardins d’Espagne » aux accents de là bas.
Même pas peur, mais du plaisir pour « Une nuit sur le
Mont-Chauve » du maître russe du fantastique.
« La nuit transfigurée » en deuxième partie de
soirée ne laisse pas deviner les atonalités futures du « dégénéré »
réfugié à Los Angeles.
Novice en musique jusqu’à la fin de mon temps, j’aurais
bien aimé apprécier sa musique sans image et sans un texte qui
pourtant a servi son inspiration, mais a pu me paraitre dépourvu de poésie :
un homme accepte que la femme qu’il aime porte l’enfant d’un autre.
Cela avait fait scandale à l’époque : tout n’était pas
mieux avant.
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