mardi 2 mai 2023

Noir burlesque. Marini.

Pour mieux apprécier la diversité de la production actuelle de BD, est-il besoin d'aller voir du du côté des stéréotypes éculés du polar américain des années cinquante avec personnages
ankylosés aux révolvers omniprésents sous un scénario sans intérêt?
Les dessins ont beau mettre en valeur les formes féminines et la puissance masculine qui arrivée à ce point dépasse même la caricature, ils participent à notre indifférence que les dialogues creux ne peuvent réveiller.
Parmi les commandements du boss : 
« Baise avec qui tu veux mais n’essaie pas de me baiser ». 
Bigard à côté c’est Mathieu Ricard. 
Voilà de quoi exciter des comités de lecture woke dont le verdict quel qu’il soit ne me gênerait pas, surtout parce que ces 94 pages ne contiennent rien.

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