Toujours le même plaisir de voir grandir la jeune fille qui
nous renseigne si bien sur l’époque où elle n’avance pas masquée même en cette
période qui peut sembler lointaine où nous nous confinions.
Le temps a passé et elle le regarde sans nostalgie, nous la
voyons grandir avec une énergie et une sincérité tellement sympathiques.
La chronique de ses premières amours, de sa première
cigarette, de son premier mensonge, de sa première dispute est pudiquement traitée avec toujours une pointe d’humour qui
rend légère une vie dont les aspérités ne sont pas gommées.
J’en suis
à lui pardonner ses parenthèses qui m’agacent habituellement : «
c’est pour rigoler », rassuré par ces portraits souriants au sein d’une
famille aimante s’inscrivant dans une dynamique prometteuse.
Elle s’amuse et
réussit : faut-il que ces récits soient si rares que nous nous en
réjouissions à ce point ?
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