A notre
réveil, le brouillard et les nuages enveloppent le jardin et l’intérieur dans
une lumière cotonneuse d’une autre saison, mais le baromètre est optimiste pour
la suite de la journée. Nous
parquons la voiture à 9h30 au même endroit qu’hier.Au
programme, nous envisageons de suivre le parcours établi par l’Office du
tourisme, reliant essentiellement les
murs recouverts par les peintures de BD. Il nous conduit par la même occasion
dans des quartiers que nous n’aurions pas fréquentés autrement. Nous passons
ainsi devant l’église Saint André construite
dès le XII° siècle, fermée à la visite à cette heure pour nous trouver ensuite
face à la modernité de l’Alpha. L’Alpha
constitue un ensemble de médiathèques et de lieux culturels conçu par
l’architecte Françoise Raynaud. Il est composé de cinq bâtiments imbriqués et
superposés appelés « mondes » (continents..) formant un A dirigé vers
le ciel. Pour continuer notre chemin, une passerelle enjambe les voies de
chemin de fer d’où nous pouvons
voir en taille XXL- « l’archiviste » de François Schuiten.- La gare se
pare d’une statue de « Lucien »
qui se prélasse au- dessus de
l’entrée- tandis que
le parvis recueille un « menhir » avec Astérix et Obélix
représenté dans la pierre et un « obélisque »
gravé de leurs répliques cultes.Dans les
rues adjacentes avec quelques zig et zag, nous parvenons à voir :
- « Le jardin extraordinaire »de
Florence Cestac- « New York sur Charente » de
Nicolas de Crécy- « 1er RIMA ancré dans sa ville »
de Fawzi Baghdali- « Un samedi à Malakoff » de
Margerin (avec Lucien)- les portraits
de « Lucky Luke » « des
Dalton » et de «Jolly
Jumper » de Morris- « La fille des remparts » de
Max Cabanes- « Avec le temps » de François
Schuiten- « Les pieds nickelés » de
Pellos- « Le monde de René Goscinny » de Moon et Catel-
« Blake et Mortimer » sur deux
toiles marouflées- « Le voyage au travers des
images » de Philippe Druillet- « Le cosmos d’Uderzo » de
François Boucq- « Titeuf » de Zep
-Nous avions déjà aperçu plusieurs fois « Kirikou » de Michel Ocelot illustré près des chais et de notre parking et choisissons d’abandonner notre quête des quelques peintures murales restantes (« Réalité sortie de secours » de Marc-Antoine Mathieu ou « Cubitus » par exemple) au profit d’une pause méridienne bien méritée. Nous nous installons dans la brasserie le saint Germain sur une place tranquille du vieil Angoulême et apprécions nos salades gourmandes notre bière et notre café. L’intérieur de l’établissement n’échappe pas à l’engouement de la BD, où Tintin et Milou juchés sur un chameau se détachent sur une glace.
-Nous avions déjà aperçu plusieurs fois « Kirikou » de Michel Ocelot illustré près des chais et de notre parking et choisissons d’abandonner notre quête des quelques peintures murales restantes (« Réalité sortie de secours » de Marc-Antoine Mathieu ou « Cubitus » par exemple) au profit d’une pause méridienne bien méritée. Nous nous installons dans la brasserie le saint Germain sur une place tranquille du vieil Angoulême et apprécions nos salades gourmandes notre bière et notre café. L’intérieur de l’établissement n’échappe pas à l’engouement de la BD, où Tintin et Milou juchés sur un chameau se détachent sur une glace.
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