Le plus récent met la croupe de Mireille Darc en évidence.
Celui là, « mes petits chats», célèbre « le gentleman débonnaire du cinéma
français à l’élégance et au phrasé légendaires ». Philippe Noiret.
Quand c’est Tavernier qui
s’y colle, c’est du bon.
Lorsque Laurent Chalumeau
rédige à propos de Delpech : « le
constat amiable » après que « l’interprète de « Pour un
flirt » et « Quand j’étais chanteur » ait « quitté le building en ce début 2016 »,
c’est pétillant.
Un joli salut « sans
faire de diabète nécrologique ».
Au moment où les séries
occupent les écrans, s’impose un retour vers le commissaire Valentin et ses
adjoints Pujol et Terrasson qui constituaient les « Brigades du
Tigre » dont les 36 épisodes occupèrent 6 saisons entre 73 et 82.
Je ne connaissais pas plus les 263 livres de la collection policière « La
brigade mondaine » dont j’avais aperçu les couvertures aguichantes qui ne
furent sans doute pas pour rien dans leur succès d’édition. La description de la
trame immuable et des contraintes familière au lecteur est intéressante.
Philippe Muray en fut un des rédacteurs.
Avec l’ancien secrétaire de
Carlos nous entrons dans les coulisses du show biz d’autant plus qu’il fut
également le chauffeur de Claude François.
Le rappel des années de
plomb où Pierre Clémenti fut emprisonné à Rome apportent une note de gravité dans le déroulé enjoué du
passé qui est la marque de fabrique de Schnock courant tout au long des 175
pages.
Ce style rend attractive
« l’épopée pulpeuse d’Orangina » et amusante la petite nouvelle
composée autour du couteau électrique SEB :
« On met sa serviette. On retire les coudes de
sa table. »
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