Legendre que je vois chaque samedi dans Libé, au musée Géo Charles, est en majesté avec son
trait ondulé, très gravure sur bois, beau mais tellement graphique qu’il en est
refroidi.
Aux Moulins de
Villancourt, les intitulés ont beau titrer « arrache toi un œil »,
les graphistes du « print » ou du « digital » dans le
« packaging », m’ont semblé participer à une ronde aux couleurs
attendues, s’éteignant les unes les autres.
Au Musée de la Viscose, des affiches
sont posées au sein de l’exposition permanente, reprenant les icones de Grapus,
mais ne gagnant guère en lisibilité à se superposer sur les portraits des
ouvrières et leur machines noires désormais sous verre.
A La Rampe, des travaux
d’étudiants présentent des villes mais pour certains le stéréotype submerge la
poésie, la virtuosité ou l’efficacité d’un trait. Quand Toulouse est noyée sous
le Cassoulet, Nice s’en tire mieux.
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