Roman graphique. Chaque vignette est revêtue de couleurs laiteuses qui conviennent à la rêverie.
Dans cette atmosphère grise, la ligne claire, qui  avait valu à la sœur de Solotareff  la notoriété dans la littérature jeunesse avec « Le chien bleu », facilite la lecture.
Cependant j’ai suivi distraitement l’histoire de Kate, une jeune femme décidément trop passive dans sa dérive déprimante.
La frontière est poreuse entre  le rêve et une réalité de cauchemar; de plus le genre, assez parcouru en bande dessinée, fut-elle peinte, me laisse froid.
 

 
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