 Je ne connaissais pas le peintre  écossais jusqu’à cette exposition au musée d’art moderne de la ville de Paris, et maintenant je l’identifierai facilement tant son style m’a paru  familier d’emblée, même si les intimes des livres d’images peuvent s’amuser à repérer des inspirateurs : Munch, Douanier Rousseau, Hopper…Je me sens de la même génération, avec la même tapisserie d’images où se fondent, sous l’épaisseur de l’acrylique, les couleurs des magazines, des télés, du ciné. Ses grandes toiles inspirées du Canada avec leurs reflets m’ont plus séduits  par leurs effets solarisés que ses tropiques trop noirs. Notre place dans la nature  loin d’être idyllique, n’est pas évidente, mais oh combien d’actualité !
Je ne connaissais pas le peintre  écossais jusqu’à cette exposition au musée d’art moderne de la ville de Paris, et maintenant je l’identifierai facilement tant son style m’a paru  familier d’emblée, même si les intimes des livres d’images peuvent s’amuser à repérer des inspirateurs : Munch, Douanier Rousseau, Hopper…Je me sens de la même génération, avec la même tapisserie d’images où se fondent, sous l’épaisseur de l’acrylique, les couleurs des magazines, des télés, du ciné. Ses grandes toiles inspirées du Canada avec leurs reflets m’ont plus séduits  par leurs effets solarisés que ses tropiques trop noirs. Notre place dans la nature  loin d’être idyllique, n’est pas évidente, mais oh combien d’actualité !
lundi 1 septembre 2008
Peter Doig
 Je ne connaissais pas le peintre  écossais jusqu’à cette exposition au musée d’art moderne de la ville de Paris, et maintenant je l’identifierai facilement tant son style m’a paru  familier d’emblée, même si les intimes des livres d’images peuvent s’amuser à repérer des inspirateurs : Munch, Douanier Rousseau, Hopper…Je me sens de la même génération, avec la même tapisserie d’images où se fondent, sous l’épaisseur de l’acrylique, les couleurs des magazines, des télés, du ciné. Ses grandes toiles inspirées du Canada avec leurs reflets m’ont plus séduits  par leurs effets solarisés que ses tropiques trop noirs. Notre place dans la nature  loin d’être idyllique, n’est pas évidente, mais oh combien d’actualité !
Je ne connaissais pas le peintre  écossais jusqu’à cette exposition au musée d’art moderne de la ville de Paris, et maintenant je l’identifierai facilement tant son style m’a paru  familier d’emblée, même si les intimes des livres d’images peuvent s’amuser à repérer des inspirateurs : Munch, Douanier Rousseau, Hopper…Je me sens de la même génération, avec la même tapisserie d’images où se fondent, sous l’épaisseur de l’acrylique, les couleurs des magazines, des télés, du ciné. Ses grandes toiles inspirées du Canada avec leurs reflets m’ont plus séduits  par leurs effets solarisés que ses tropiques trop noirs. Notre place dans la nature  loin d’être idyllique, n’est pas évidente, mais oh combien d’actualité !
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