Le privilège d’avoir vu ce film plein de fraîcheur au cours du festival de
Cannes, a ajouté à la jubilation de découvrir un travail excellent, un hommage
respectueux et léger, une belle proposition d'aujourd'hui.
Nous révisons l’histoire de la bande des cahiers du cinéma
où Godard fut le dernier à réaliser un long métrage.
Nous partageons
l’excitation d’un tournage hors norme avec un casting aux petits oignons.
Cette heure quarante cinq
passe comme un rêve pétillant, énergique, pédagogique et drôle.
En 1960, La vie
pleine de certitudes, de croyances en l’avenir, débordait de créativité, de
couleurs, de jeunesse. Elle s’inscrivait en noir et blanc et Godard poussait un
fauteuil d’handicapé pour réaliser un travelling voluptueux.
Les beautés
offusquées étaient tellement mignonnes.
Quand les lumières se sont rallumées, je
suis resté un moment agréablement séché par cette vague qui m’avait submergé de
nostalgie.
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